J'ai déjà parlé de Vulog sur ce blog. Et pour cause : je connais son fondateur. Cela m'a permis de suivre l'évolution de cette PME qui a parié très tôt sur l'autopartage et qui a son actif de belles réalisations.
La solution technologique de Vulog gère aujourd’hui plus de 10 millions de trajets d’autopartage par an et constitue le cœur technologique de services de mobilité majeurs, tels que Evo à Vancouver (plus gros opérateur indépendant d’Amérique du Nord avec 1250 véhicules), emov à Madrid (550 véhicules électriques opérés par PSA et Eysa avec plus de 120000 utilisateurs), GreenMobility à Copenhague (450 véhicules électriques). Vulog fournit aussi ses logiciels à de nombreux autres services en Europe, Amérique du Nord, Amérique du Sud et Océanie. Il faut se rappeler que l'histoire a débuté à Antibes et à Nice (Auto Bleue), avant de trouver un écho dans d'autres villes de France, puis au Canada. Il n'y a pas si longtemps, j'avais écrit un post sur ce Franchie qui réussit en Amérique du Nord.
En parallèle, Vulog travaille étroitement avec un certain nombre de constructeurs automobiles pour intégrer directement sa solution au sein des véhicules de nouvelle génération.
La société, qui est désormais dirigée par Grégory Ducongé, connaît une croissance exceptionnelle depuis 18 mois. En plus de ses bureaux en France, Vulog est aujourd’hui présent à Toronto, Vancouver, et dès le mois de Septembre dans la Silicon Valley. Une étape symbolique pour se renforcer en Amérique du Nord.
