mercredi 10 avril 2019

Quand l'horodateur devient un capteur de pollution

En voilà une idée qu'elle est bonne… A travers sa marque Flowbird, le groupe Parkeon propose d'ajouter des capteurs sur les horodateurs afin de mesurer plus finement la pollution de l'air et la pollution sonore. Cet acteur précise qu'il est présent dans plus de 5 000 villes, dans le monde. Une présence globale qui pourrait être mise à profit pour avoir une meilleure connaissance des niveaux de pollution au niveau des rues.

Baptisée Park&Breathe, la solution se présente sous la forme d'un kit additionnel qui vient se positionner sur la structure déjà en place. Grâce à des capteurs, les villes pourraient ainsi obtenir des chiffres plus précis sur le bruit, la pollution photochimique NO2 (dioxyde d’azote) ou encore les particules fines. L'avantage vient du fait que les polluants sont mesurés périodiquement à hauteur des oreilles et des voies respiratoires.

Plusieurs pilotes ont été lancés avec succès, tant aux Etats-Unis qu’en Russie ou encore en Europe. Flowbird vise à déployer la solution Park&Breathe à plus grande échelle.