Rappelons que la FIA soutient ou a soutenu les programmes suivants :
EuroNCAP : l'organisme qui teste la sécurité passive (5 étoiles) et qui incite aussi les constructeurs à s'équiper de systèmes d'aide à la conduite, afin d'éviter les accidents et de rendre les voitures encore plus sûres ;
IRAP : l'équivalent d'EuroNCAP pour évaluer la sûreté des routes ;
eSafety : une campagne pour faire connaître les technologies qui sauvent des vies à bord des véhicules, avec des conférences et des démos avec l'aide de pilotes*.
Des campagnes à l'aide de partenaires tels que Michelin et Nissan.
L'ancien patron de Ferrari en F1 aura pour mission d’attirer l’attention des pouvoirs publics sur les instruments juridiques des Nations Unies en matière de sécurité routière et se fera l’avocat des meilleures pratiques existantes par sa participation à des conférences mondiales et régionales sur le sujet. L’Envoyé spécial pour la Sécurité routière cherchera également à établir des partenariats stratégiques entre les secteurs public, privé et non-gouvernemental afin de rassembler des fonds pour soutenir les actions de sensibilisation en faveur de la sécurité routière.
Chaque année dans le monde, près de 1,3 million de personnes sont tuées sur les routes et 50 autres millions sont grièvement blessées. 90% des décès surviennent dans les pays émergents ou en développement alors que ceux-ci ne comptent que la moitié du parc automobile mondial. La Semaine de l’ONU pour la sécurité routière, qui a débuté le 4 mai, attirera l’attention sur les 500 enfants qui perdent la vie, chaque jour, sur les routes.
A noter qu'à la la fin de l’année, le Brésil accueillera la deuxième Conférence ministérielle mondiale sur la Sécurité routière les 18 et 19 novembre. Elle aura pour but d’évaluer les progrès effectués dans le cadre de la Décennie d’action de l’ONU pour la sécurité routière 2011-2020.
*des champions du monde de Formule 1 par exemple, comme Lewis Hamilton ou Sebastian Vettel, ou encore le nonuple champion du monde des rallyes, Sébastien Loeb.
