Première précision, il faut s'authentifier par un scan digital pour pouvoir démarrer le véhicule.
L'autre procédure consiste à mesurer l’alcoolémie du conducteur quand il tourne la clé. Le système a pour nom l'Alcolock.
Parmi les applications, on retrouve une vision à 360 degrés, ainsi qu'un rétroviseur intelligent pour anticiper sur les obstacles.
En ce qui concerne la connectivité, ce protoype est relié au réseau 4 G et comprend un réseau Wi-Fi. Cela lui permet de piloter des applications, mais aussi de recevoir des alertes sur la météo et l’adhérence des routes (via Weather Telematics, une société spécialisée) via le cloud. Il est aussi prévu un protocole de communication pour signaler la présence de véhicules prioritaires.
L'interface homme-machine innove avec une interface basée sur la reconnaissance gestuelle.
A noter que l'écran permet d'accéder à des infos de bord sous forme numérique, que ce soit pour les fluides, le système électrique et les organes de sécurité.
L'écran de bord permet aussi de mesurer la performance de conduite, en analysant l'accélération et le freinage. Ce qui permet de se corriger et de réduire la consommation.
Au final, un exercice de style intéressant pour la filière auto de l'Ontario. Précisons que Magna et QNX (une filiale de Blackberry) étaient les principaux partenaires de ce prototype.
Voir l'album photo de la voiture connectée de l'APMA : https://s.joomeo.com/539c7d7ef2e0b